domingo, 22 de noviembre de 2009

Les élections honduriennes et le Président Micheletti

Les élections honduriennes et le Président Micheletti
Par: Maitre Álvaro Albornoz - Docteur en Droit Constitutionnel
Avocat Summa Cum Laude - Professeur Universitaire Venezuelien

Quelques gouvernements communistes et corrompus, ont fait savoir qu'ils ne reconnaîtront pas les élections générales qui auront lieu au HONDURAS le 29 novembre 2009 prochain, car selon leur jugement, elles vont avoir lieu sous une supposée "dictature" ou “un gouvernement de fait” et, ils allèguent qu'il faut d'abord restituer l'ex-président Zelaya au pouvoir, pour que le dit processus électoral puisse avoir quelconque légitimité.

Ces arguments sont absurdes, incompréhensibles et violatoires des normes du droit international et, dévoilent les vraies intentions de ces êtres pervers et macabres.

En premier lieu, c'est la première fois dans l'histoire que l'on est en présence d'une supposée "dictature" qui depuis qu'elle a assumé le pouvoir, a proclamé qu'elle y resterait seulement jusqu'en janvier 2010, date à laquelle se termine la période constitutionnelle. De plus, c'est également la première fois que nous observons qu'une "dictature" qui depuis qu'elle est au pouvoir, organise des élections qui ont déjà été déclenché lors de la précédente présidence et, que cette supposée dictature, assigne les ressources économiques au Tribunal Suprême Électoral et aux partis politiques pour que 'événement démocratique puisse se dérouler avec normalité ; les dites ressources ont été refusé et non octroyé par l'ex-président Zelaya que des “étrangers aveugles ” considèrent comme un démocrate.

Et comme si ce n'était pas suffisant, le Président Micheletti a proposé sa démission à de nombreuses occasions, si cela devait servir à résoudre le conflit politique : Quelle sorte de dictateur est-t-il ? Pour plus ample information, le 19 novembre, lors d'une conférence de presse, le Président Micheletti a expliqué qu'il s'éloignerait de ses fonctions du 25 novembre au 2 décembre, pour qu'en ce qui concerne le processus électoral cela génère plus de confiance au niveau international . Nous recommençons à nous demander : Quel dictateur fait cela ?

Ceux qui savent ce qui se passe au HONDURAS et, ceux qui sont sur la même longueur d'onde de ce que pense le peuple hondurien et ses institutions, considérons, qu'il n'est pas nécessaire que le Président Micheletti se sépare momentanément de sa charge, puisque ce comportement ne donnera pas plus de légitimité à un processus qui est absolument légitime et légal. De plus, cela pourrait favoriser un acte de déstabilisation de la démocratie de la part des agents du malheur.

A l'heure actuelle, le HONDURAS a plus que jamais besoin de la présence que son indubitable Capitaine soit au gouvernail. Le Président Micheletti a été le Capitaine de toute cette lutte, que le peuple catracho a eu à mener, pour défendre sa liberté et sa paix. Si Don Micheletti n'avait pas été là, aujourd'hui, le destin du HONDURAS serait sûrement autre. Son caractère, sa fermeté, sa force, sa vaillance, son courage, sa rectitude, sa tolérance, sa sagesse et sa trempe d'acier, ont conduit le grand bateau de la nation hondurienne vers un port protégé .

Les jours durant lesquels le Président Constitutionnel pense s'absenter, seront les jours les plus délicats et importants et, il n'est pas adéquat, que le Capitaine du navire ne soit pas là. Nous savons et nous comprenons, que l'offre de Don Micheletti est encore une preuve supplémentaire de son talent démocratique et de son extraordinaire condition humaine, mais nous croyons que tant de générosité n'est pas nécessaire.

Le processus électoral est guidé et réalisé d'une manière autonome et, conformément à la Constitution hondurienne, par le Tribunal Suprême Électoral et, protégé par les Forces Armées, qui sont à la disposition de cette institution de l'État. Le Président de la République n'intervient en aucune façon dans ce processus, il veille seulement à ce que tout se déroule avec normalité. C'est pourquoi la séparation momentanée du pouvoir n'est pas nécessaire et, encore moins quand le Président Micheletti a démontré autant de respect pour la Constitution, pour l'indépendance du Tribunal Suprême Électoral et, qu'il s'est montré impartial dans le conflit politique.

D'autre part, la légitimité des élections dépend de la participation du peuple, de son assistance massive et pour que tout soit transparent, de la surveillance de tous les observateurs nationaux et internationaux. C'est le peuple souverain hondurien qui par le vote, légitimera son nouveau Président. Ce n'est pas la communauté internationale qui va décider qui doit être le Président du HONDURAS, c'est au peuple du HONDURAS à en décider. Qui est-ce qui ne peut pas comprendre ce principe élémentaire, qui est de plus, reconnu dans divers traités et déclarations internationales ?

Ayons Foi en ce que le peuple catracho sortira pour voter massivement et, pour démontrer son soutien à la démocratie, car ce seront les élections les plus courues de l'histoire du HONDURAS et, en conséquence les plus légitimes. Au Venezuela, l'actuelle Assemblée Nationale a été élue par à peine 8 % des votes des électeurs, étant un Pouvoir législatif bâtard et illégitime, au sujet duquel, la communauté internationale n'a jamais rien dit.

De la même manière, il faut faire ressortir qu'au HONDURAS, tous les pouvoirs publics et organes de l'État, fonctionnent normalement et avec les mêmes personnes qui y étaient pendant le gouvernement de Zelaya. Quelle sorte de gouvernement de fait est donc ce gouvernement, dont toutes les institutions fonctionnent conformément à ce que prévoit la Constitution ? En plus, il n'y a pas un seul militaire au gouvernement. Comment peut-on dire qu'il y a eu un coup d'état militaire quand les militaires n'occupent aucun poste du pouvoir, mais qu'au contraire ils continuent d'exécuter leurs fonctions constitutionnelles ?

En ce sens, dans les vraies dictatures du monde, la communauté internationale a toujours proclamé et demandé aux dictateurs de procéder à des élections et, ainsi fut fait au Chili avec Pinochet, ceci, pour donner seulement un exemple. Et : Qui est-ce qui a objecté la légitimité de ces élections ? Alors, comment demander au HONDURAS, quelque chose qui n'a jamais été demandé dans aucun pays du monde.

Toute cette explication dévoile les vraies intentions du communisme international, qui veut seulement restituer Zelaya au pouvoir, non pour "légitimer" les élections, mais pour en finir avec elles, pour les mettre indéfiniment entre parenthèses et, pour réaliser ses plans autoritaires de maintenir perpétuellement Zelaya au pouvoir comme Chávez, Correa, Ortega et compagnie prétendent le faire, dans leurs pays respectifs. C'est pourquoi qu'ils n'acceptent pas que "l'éventuelle" restitution puisse se faire après les élections.

Mais le peuple du HONDURAS ainsi que ses institutions, sont bien trop intelligentes et sages et, savent parfaitement quelles sont les intentions perverses que cachent ces satrapes. C'est pourquoi, la majorité immense du peuple catracho, qui aime la démocratie et la paix, se présentera de façon écrasante aux bureaux de votes, pour choisir les hommes et les femmes qui dirigeront leur destin lors des 4 années à venir. Rien ni personne ne pourra arrêter cette manifestation de civisme et de dignité, dont font preuve les Honduriens.

La rejet des élections légitimes et légales du HONDURAS dont les communistes font preuve, démontre leur indifférence à la démocratie et à la participation populaire. Ils veulent qu'il n'y ait pas d'élections libres et transparentes. Ils veulent que ce soit Zelaya qui organise les élections pour qu'elles soient frauduleuses et manipulées, comme cela se passe au Venezuela, en Iran, au Zimbabwe, en Bolivie, au Nicaragua, ou qu'il n'y ait pas d'élections plurielles et démocratiques comme c'est le cas à Cuba.

C'est pourquoi ils s'opposent, c'est pourquoi ils poussent des cris, c'est pourquoi ils insultent et se plaignent. Mais la vérité c'est qu'au HONDURAS ils se sont trouvés face à un mur d'acier plein de dignité et de courage, ils se sont trouvés face au plus grand peuple, beau, digne et démocratique du monde entier. Les Honduriens ne sont pas n'importe quel peuple, il n'y a aucun doute de cela. Ce sont les plus extraordinaires gladiateurs de la liberté, et lorsqu'un peuple est conscient de la signification du mot “liberté“, il n'y a pas d'arme, ni de pays, ni d'homme qui puisse aller contre cela. C'est pourquoi le HONDURAS a vaincu les forces de l'obscurité comme jamais personne ne l'a fait auparavant et, il est devenue la lumière des démocrates. Tandis que le gouvernement de Hugo Chávez, kleptocratique et violeur des droits de l'homme, n'accepte pas ce qui s'est passé au HONDURAS, le peuple vénézuélien se solidarise pleinement avec la patrie de Morazán et, les soutient dans leurs façons d'agir, encadrées par le principe de séparation des pouvoirs. Il en est de même pour d'autres nations, dont les gouvernements communistes ne respectent pas la souveraineté du HONDURAS, mais dont leurs peuples applaudissent et crient "viva" à nos frères catrachos.

En conclusion, le Président Micheletti ne doit pas se séparer une seconde de sa charge, jusqu'à ce qu'il remette l'écharpe présidentielle au nouveau Président de la République. Par la suite que l'on se souvienne de lui dans les pages d'or des livres qui s'écriront, tandis que ses détracteurs seront jetés aux déchets de l'histoire.

Donc : Levez vous esprits catrachos! Hauts les coeurs! Vous avez triomphé! Vous êtes l'espoir du monde! Vive le HONDURAS! Vive le HONDURAS! Et Vive le HONDURAS!

* Traduit par: Marie-Andrée Germa de Pimentel

viernes, 20 de noviembre de 2009

LAS ELECCIONES HONDUREÑAS Y EL PRESIDENTE MICHELETTI

LAS ELECCIONES HONDUREÑAS Y EL PRESIDENTE MICHELETTI
Por: Dr. Álvaro Felipe Albornoz P.
Doctor en Derecho Constitucional
Profesor Universitario Venezolano
catrachovenezolano@gmail.com
www.catrachovenezolano.vox.com
20 de noviembre de 2009

Algunos gobiernos comunistas y corruptos señalan que no reconocerán las elecciones generales que se celebrarán en HONDURAS el próximo 29 de noviembre de 2009 porque a su juicio son llevadas a cabo bajo una supuesta “dictadura” o “gobierno de facto”, y aducen que primero se debe restituir al ex presidente Zelaya en el poder para que pueda tener legitimidad dicho proceso electoral.
Estas argumentaciones son absurdas, incomprensibles y violatorias de las normas del derecho internacional y develan las verdaderas intenciones de estos seres perversos y macabros.
En primer lugar, primera vez en la historia que se está en presencia de una supuesta “dictadura” que desde que asumió el poder proclamó que solo permanecería en él hasta enero de 2010, fecha en que se cumple el periodo constitucional correspondiente. Además, primera vez que observamos que una “dictadura” desde que asume el poder, continúa organizando el proceso electoral ya convocado bajo la anterior presidencia y que le asigna, por cierto, los recursos económicos al Tribunal Supremo Electoral y a los partidos políticos para que pueda desarrollarse con normalidad el evento democrático; recursos que fueron negados y no entregados por el ex presidente Zelaya, a quien los “ciegos extranjeros” consideran como demócrata.
Por si fuera poco, el Presidente Micheletti ha ofrecido en reiteradas ocasiones su renuncia al cargo, si eso ayuda a solucionar el conflicto político ¿Qué clase de dictador es este?. A mayor abundamiento, el 19 de noviembre, en rueda de prensa, el Presidente Micheletti señaló que va a separarse del ejercicio de sus funciones desde el 25 de noviembre al 2 de diciembre, para generar más confianza a nivel internacional en el proceso electoral. Nos volvemos a preguntar ¿Qué dictador hace esto?.
Los que si conocemos lo que sucede en HONDURAS y los que estamos en plena sintonía con el pensar del pueblo hondureño y de sus instituciones, consideramos, que no es necesario que el Presidente Micheletti se separe de su cargo momentáneamente, ya que esa actuación no le va a dar más legitimidad a un proceso que es absolutamente legítimo y legal. Además, podría propiciar algún acto de desestabilización de la democracia por parte de los agentes del mal.
HONDURAS necesita en estos momentos, más que nunca, de la presencia de su líder indiscutible al frente del timón. El Presidente Micheletti ha sido el Capitán de toda esta lucha que ha tenido que llevar a cabo el pueblo catracho para defender su libertad y su paz. Si no fuera por Don Micheletti, el destino de HONDURAS, hoy seguramente sería otro. Su carácter, su firmeza, su fortaleza, su valentía, su coraje, su rectitud, su tolerancia, su sabiduría y su temple de acero, condujeron a puerto seguro el gran barco de la nación hondureña.
Los días en que el Presidente Constitucional piensa ausentarse serán los días más delicados e importantes y no es conveniente que falte el Capitán del barco. Sabemos y entendemos que el ofrecimiento de Don Micheletti es una prueba más de su talante democrático y de su extraordinaria condición humana, pero creemos que no es necesario tanto desprendimiento.
El proceso electoral es guiado y llevado a cabo de manera autónoma y de acuerdo con la Constitución hondureña, por el Tribunal Supremo Electoral y custodiado por las Fuerzas Armadas, que están a disposición de dicho órgano del Estado. El Presidente de la República no interfiere en dicho proceso, solo colabora en que todo se desenvuelva con normalidad. Por eso no es necesaria la separación del cargo y mucho menos cuando el Presidente Micheletti ha demostrado tanto respeto a la Constitución, a la independencia del Tribunal Supremo Electoral y se ha mostrado imparcial en la contienda política.
Por otra parte, la legitimidad de las elecciones depende de la participación del pueblo, de su asistencia masiva y de la vigilancia por parte de todos los observadores nacionales e internacionales de que todo sea transparente. Es el pueblo soberano hondureño el que legitimará a su nuevo Presidente con los votos. No es la comunidad internacional la que va a decir quien debe ser el Presidente de HONDURAS, eso solo lo dice el pueblo de HONDURAS. ¿Quién no puede entender este principio que además está consagrado en diversos tratados y declaraciones internacionales?.
Tenemos Fe que el pueblo catracho saldrá masivamente a votar y demostrar su apoyo a la democracia, siendo las elecciones más concurridas de la historia de HONDURAS y en consecuencia las más legítimas. En Venezuela, la actual Asamblea Nacional fue electa por apenas el 8% de los votos del padrón de electores, siendo un Poder Legislativo espurio e ilegítimo, que sin embargo la comunidad internacional nunca ha dicho algo al respecto.
Asimismo, hay que resaltar que en HONDURAS están funcionando normalmente todos los poderes públicos y órganos del Estado con las mismas personas que estaban durante el gobierno de Zelaya. ¿Qué clase de gobierno de facto es este donde funcionan todas sus instituciones conforme a lo que dispone la Constitución?. Igualmente, no hay un solo militar en ningún cargo de gobierno. ¿Cómo puede decirse que hay un golpe militar cuando los militares no ocupan los cargos del poder sino que siguen cumpliendo sus funciones constitucionales?
En tal sentido, en las verdaderas dictaduras del mundo, la comunidad internacional siempre ha proclamado y pedido a los dictadores que realicen elecciones y así ha sucedido en Chile con Pinochet, por sólo poner un ejemplo. Y ¿Quién objetó la legitimidad de esas elecciones?. Entonces, cómo pedir algo en HONDURAS que no se ha pedido nunca en ningún país del mundo.
Toda esta explicación devela las verdaderas intenciones del comunismo internacional que solo quiere restituir a Zelaya, no para “legitimar” las elecciones, sino para acabar con ellas, para suspenderlas indefinidamente y llevar a cabo sus planes autoritarios de mantener a Zelaya en el poder perpetuamente como lo pretenden Chávez, Correa, Ortega y compañía en sus respectivos países. Por eso no aceptan que la “eventual” restitución sea después de las elecciones.
Pero el pueblo de HONDURAS y sus instituciones son demasiado inteligentes y sabios y saben perfectamente cuáles son las intenciones perversas que esconden estos sátrapas. Por eso, la inmensa mayoría del pueblo catracho que aman la democracia y la paz, acudirán abrumadoramente a las mesas de votación a escoger a los hombres y mujeres que dirigirán sus destinos en los próximos 4 años. Nada ni nadie podrá detener esta manifestación de civismo y de dignidad que dan los hondureños.
El repudio a las elecciones legítimas y legales de HONDURAS que hacen los comunistas demuestra su desapego a la democracia y a la participación popular. Ellos quieren que no haya elecciones libres y transparentes. Ellos quieren sea Zelaya quien organice las elecciones para que sean fraudulentas y manipuladas como sucede en Venezuela, Irán, Zimbabwe, Bolivia, Nicaragua o que no haya elecciones plurales y democráticas como sucede en Cuba.
Por eso se oponen, por eso chillan, por eso insultan y se quejan. Pero la verdad es que en HONDURAS se encontraron con un muro de acero lleno de dignidad y valentía, se encontraron con el pueblo más grande, hermoso, digno y democrático del mundo entero. Los hondureños no son cualquier pueblo, de eso no hay duda. Son los más extraordinarios gladiadores de la libertad, y cuando un pueblo está consciente del significado de la palabra “libertad” no hay arma, ni país, ni hombre que pueda contra eso. Por eso HONDURAS ha vencido a las fuerzas de la oscuridad como nunca nadie lo ha hecho antes y se ha convertido en la luz de los demócratas. Mientras el gobierno cleptocrático y violador de derechos humanos de Hugo Chávez no acepta lo sucedido en HONDURAS, el pueblo venezolano se solidariza plenamente con la patria de Morazán y los respalda en sus actuaciones enmarcadas dentro del principio de separación de poderes. Igual sucede con otras naciones donde sus gobiernos comunistas no respetan la soberanía de HONDURAS, pero sus pueblos aplauden y gritan vítores a nuestros hermanos catrachos.
En conclusión, el Presidente Micheletti no debe separarse ni un segundo de su cargo hasta que entregue la banda presidencial al nuevo Presidente de la República y luego sea recordado en las páginas de oro de los libros que se escriban, mientras sus detractores serán echados al estercolero de la historia.
Así que ¡arriba esos ánimos catrachos! ¡Arriba esos corazones! Han triunfado! ¡Ustedes son la esperanza del mundo! ¡Viva HONDURAS!, ¡Viva HONDURAS! y ¡Viva HONDURAS!.

martes, 17 de noviembre de 2009

MI CUMPLEAÑOS

AMIGOS LECTORES, ESTE JUEVES 19 DE NOVIEMBRE ES MI CUMPLEAÑOS! LOS INVITO A CELEBRAR!

domingo, 8 de noviembre de 2009

¿QUIEN INCUMPLE EL ACUERDO DE TEGUCIGALPA?

¿QUIEN INCUMPLE EL ACUERDO DE TEGUCIGALPA?
Por: Dr. Álvaro Albornoz
Doctor en Derecho Constitucional
Abogado Summa Cum Laude
Profesor Universitario Venezolano
catrachovenezolano@gmail.com
www.catrachovenezolano.vox.com

Luego de suscrito el Acuerdo Tegucigalpa/San José por las comisiones del Presidente Constitucional de HONDURAS Roberto Micheletti y el Ex Presidente Manuel Zelaya, para lograr la reconciliación nacional y el fortalecimiento de la democracia hondureña, se comenzó con la ejecución del primer punto referido al Gobierno de Unidad.
El Acuerdo textualmente señala: “Para lograr la reconciliación y fortalecer la democracia, conformaremos un Gobierno de Unidad y Reconciliación Nacional integrado por representantes de los diversos partidos políticos y organizaciones sociales, reconocidos por su capacidad, honorabilidad, idoneidad y voluntad para dialogar, quienes ocuparán las distintas Secretarías y Subsecretarías así como otras dependencias del Estado, de conformidad con el artículo 246 y siguientes de la Constitución de la República de Honduras”.
En este sentido, haciendo una interpretación literal de lo trascrito se puede comprender claramente y sin lugar a dudas que el primer punto del Acuerdo, el cual es independiente de los demás puntos acordados, consiste en conformar un gobierno (entiéndase secretarías y subsecretarías y otras dependencias públicas), integrado por representantes de los diversos partidos políticos y organizaciones sociales que hacen vida en el país centroamericano.
En ninguna palabra ni oración del punto Nº 1 se habla o se establece que el gobierno de unidad debe ser encabezado obligatoriamente por el señor Zelaya. Tampoco se dice que el señor Zelaya tendrá derecho a proponer nombres para integrar ese gobierno de unidad, que en todo caso estaría representado por algunos dirigentes del Partido Liberal, al cual pertenece el ex Presidente.
Por el contrario, se deja sentado que son los partidos políticos a que se refiere el artículo 47 de la Constitución y las organizaciones sociales (lícitas de acuerdo al artículo 78 constitucional) los únicos entes que pueden postular candidatos para integrar el gobierno de unidad, de conformidad con el Acuerdo suscrito.
No obstante esta limitación, el Presidente Micheletti (quién al no haberse todavía concretado el punto Nº 5 referente a la restitución o no de Zelaya, era el llamado a constituir el gobierno de unidad, por ser el que ostenta el cargo de Presidente actualmente), invitó a todos los partidos políticos y organizaciones sociales para que postularan nombres que ocuparan las diferentes secretarías y subsecretarías. Y en un gesto de generoso desprendimiento y amplitud democrática, también le comunicó por escrito al señor Zelaya que presentara sus postulaciones.
Sin embargo, Zelaya en una actitud de soberbia y de reticencia a cumplir el Acuerdo de Tegucigalpa, se negó a proponer nombres y dio por roto el Pacto cuando apenas se comenzaba a cumplirlo, aduciendo que el gobierno de unidad solo lo puede encabezar él y nadie más, sin esperar que el Congreso tome la decisión de restituirlo o no en la presidencia, tal como lo pauta el punto Nº 5 del Acuerdo.
En cambio, los partidos políticos hondureños como el Partido Demócrata Cristiano de Honduras (PDCH), el Partido Innovación y Unidad Social Demócrata (PINU-SD), el Partido Liberal (PL) y el Partido Nacional (PN) si atendieron al llamado y propusieron listas de nombres, los dos primeros partidos y dejaron a discreción del Presidente Micheletti la escogencia de sus militantes, los dos últimos partidos mencionados; reconociendo de esta manera la legitimidad y la facultad del Presidente Micheletti para conformar el Gobierno de Unidad Nacional.
Ahora bien, el señor Zelaya desde su encierro en la Embajada de Brasil grita que se ha roto el Acuerdo porque Don Roberto Micheletti nombró al Gobierno de Unidad Nacional y eso lo tenía que hacer él. Por otra parte, los “sociolistos” de América también hacen coro y mal interpretan el Acuerdo tergiversándolo y modificando a su conveniencia la letra del mismo.
Así vimos como el ex presidente de Chile Ricardo Lagos y quien es miembro de la Comisión de Verificación, en unas declaraciones dadas en CNN en Español señaló de una manera tendenciosa que se debía restituir a Zelaya y ser él quien conformara el Gobierno de Unidad y que por lo tanto no se estaba cumpliendo el Acuerdo.
A todas luces, parece que estos “sociolistos” de América no saben leer ni escribir ni mucho menos interpretar un texto escrito, ni tampoco saben honrar un compromiso suscrito frente al mundo entero.
En conclusión, tenemos: 1) que el Gobierno de Unidad Nacional debe estar conformado solo por representantes de los diversos partidos políticos y organizaciones sociales; 2) que ese punto Nº 1 solo se refiere a las Secretarías y Subsecretarías y no al Presidente de la República; 3) que al no haberse efectuado todavía el punto Nº 5 del Acuerdo, le correspondía hacer los nombramientos al actual Presidente Roberto Micheletti; 4) que el Punto Nº 1 del Acuerdo no autoriza a Zelaya a integrar el Gobierno de Unidad Nacional; 5) que el Presidente Micheletti fue generoso y amplio al solicitarle a Zelaya que propusiera nombres; 6) que Zelaya se negó a proponer candidatos; y en consecuencia quien ha incumplido el Acuerdo es el señor Manuel Zelaya; mientras que el Presidente Constitucional Roberto Micheletti ha cumplido a cabalidad con los puntos acordados, demostrando una vez más su apego a la democracia y a los valores del Estado de Derecho.

miércoles, 4 de noviembre de 2009

ANALISIS DEL ACUERDO TEGUCIGALPA/SAN JOSE

ANALISIS DEL ACUERDO TEGUCIGALPA/SAN JOSE EN EL MARCO DEL DIALOGO GUAYMURAS
Por: Dr. Álvaro Albornoz
Doctor en Derecho Constitucional
Profesor Universitario Venezolano
catrachovenezolano@gmail.com

Por fin después de un largo trajinar fue suscrito, el 30 de octubre de 2009, el Acuerdo Tegucigalpa/San José en el marco del Diálogo Guaymuras, por las dos comisiones nombradas, una por el Presidente Constitucional de HONDURAS Roberto Micheletti, y la otra por el ex Presidente Manuel Zelaya, para resolver el conflicto político existente desde el 28 de junio de 2009 en la nación centroamericana.
Luego de la firma de este histórico Acuerdo Político, he recibido centenares de peticiones de hermanos hondureños para que dé mi opinión al respecto, la cual procedo a expresar en este breve análisis.
Muchos están preocupados, otros se muestran desconcertados, algunos se encuentran muy molestos y muchos celebran el Acuerdo. Ante toda esta discusión es necesario que estudiemos el alcance de los resultados del Diálogo de Guaymuras, para colocarlo en sus justas dimensiones.
En primer lugar, me siento satisfecho porque fueron acogidas prácticamente todas las recomendaciones que hice el 12 de octubre en el artículo titulado “Claves para resolver el conflicto en HONDURAS”.
En segundo lugar, el Acuerdo implica un reconocimiento y un triunfo del diálogo como mecanismo para alcanzar la paz y una derrota de las formas violentas promovidas por la denominada Resistencia hondureña y por los gobiernos de Chávez y Ortega. Este Acuerdo Político tiene como objetivo restablecer la convivencia ciudadana y lograr el camino hacia la paz, la reconciliación y la democracia.
En tercer lugar, el Diálogo Guaymuras constituye un reconocimiento a la legitimidad y legalidad de todas las instituciones hondureñas y un espaldarazo a la soberanía de HONDURAS como nación libre de injerencias indebidas. Asimismo, significa una confesión por parte del ex presidente Zelaya de sus irregularidades administrativas al reconocer expresamente en el punto 1 del Acuerdo que no había cumplido con la obligación de remitir a consideración del Congreso Nacional el proyecto de Presupuesto General de Ingresos y Egresos, tal como lo ordena el artículo 205, inciso 32 de la Constitución. Igualmente, el pacto suscrito reconoce la legitimidad de las actuaciones del Presidente Micheletti al señalar que el gobierno de unidad y reconciliación nacional que se debe nombrar, funcionará sobre la base del Presupuesto General recientemente aprobado por el Congreso Nacional y que fue elaborado precisamente por el equipo de gobierno de Micheletti. Asimismo, se deja claro que mientras el Congreso decide sobre la restitución o no de Zelaya, el gobierno de unidad y reconciliación nacional estará bajo la presidencia de Don Roberto Micheletti, ya que al no señalarse nada en contrario, indirectamente se reconoce el actual status quo.
En cuarto lugar, el Acuerdo también significa un apoyo contundente a la posición que han venido sosteniendo tanto el Presidente Micheletti como todos los Poderes Públicos e Instituciones hondureñas, en el sentido de que el llamado a la convocatoria de una Asamblea Nacional Constituyente de la forma como lo estaba haciendo Zelaya, era inconstitucional y violatorio del ordenamiento jurídico interno. Se ratifica la existencia de los artículos pétreos o irreformables de la Constitución, entre los que se encuentran, la prohibición absoluta de la reelección presidencial, por ser violatoria del principio de alternabilidad democrática. Por lo que, ambas partes establecieron la inconstitucionalidad de las actuaciones de Zelaya previas a los sucesos del 28 de junio.
En quinto lugar, se acuerda, tal como lo proclamaba el gobierno constitucional de Micheletti, el reconocimiento pleno de las elecciones generales legalmente convocadas para el 29 de noviembre y se autoriza la participación de las misiones internacionales de observadores, con lo cual todas las naciones del mundo reconocerán la legitimidad del nuevo Presidente de HONDURAS. Con esto se tira por la borda los llamados a desconocer las elecciones y a sabotearlas que venían haciendo los seguidores de Zelaya.
En sexto lugar, se reafirma el reconocimiento a las Fuerzas Armadas hondureñas como garantes del libre ejercicio del sufragio y de la custodia del material electoral. Igualmente, se les considera como una institución de carácter profesional, apolítico, obediente y no deliberante, sin que en ningún momento se les reproche o acuse por alguna actuación ocurrida el 28 de junio. Otro triunfo del gobierno provisional de Micheletti.
En séptimo lugar, en cuanto al punto referente a la titularidad del Poder Ejecutivo, las partes reconocen la legitimidad del Congreso Nacional como ente representante de la soberanía popular, para que sea quién determine el futuro político de HONDURAS. Es decir, los diputados deberán primero, consultar a la Corte Suprema de Justicia y a otras instancias como puede ser la Fiscalía General, la Procuraduría General, el Tribunal Supremo Electoral y el Comisionado de Derechos Humanos, para que estos entes emitan un informe sobre la legalidad de lo ocurrido el 28 de junio; y luego de recibir todos esos informes, el Congreso deberá sesionar y discutir conforme a la ley y a la Constitución de HONDURAS, si procede o no la restitución del señor Zelaya en la presidencia de la República. Claramente se observa, que el Congreso no está obligado a restituir a Zelaya ni a retrotraer la situación política del país. El Congreso debe analizar los informes de los otros entes del Estado, que deben ratificar lo ya señalado en cuanto a la constitucionalidad de la sucesión presidencial y luego revalidar o confirmar su decisión acordada el 28 de junio.
Esta será una sesión histórica para HONDURAS y el mundo entero, donde los diputados deberán dar otra lección de civismo y de democracia a los demás pueblos, sobre todo a los gobernados por déspotas corruptos. La votación debe ser obligatoriamente pública, oral e individual. Cada diputado deberá a viva voz, plenamente identificado con su nombre y apellido y partido político al cual pertenece y frente a las cámaras de televisión, decir si vota a favor de la dignidad y de la democracia de su pueblo o si por el contrario lo traiciona y vende su patria al comunismo internacional y al narcotráfico. Ese voto debe ser otorgado a conciencia y no por dinero. El pueblo estará atento y sabrá cobrar electoralmente cualquier traición. Los diputados demostrarán públicamente su honorabilidad y decencia.
Es importante destacar, que el Congreso no tiene plazo alguno para tomar esta trascendente decisión, por lo que con los pasos administrativos de consultas previas, perfectamente, esta sesión podrá ocurrir mucho después de las elecciones generales que serán reconocidas por la comunidad internacional y que ya no podrán ser suspendidas ni obstaculizadas.
Además, en ninguna línea o párrafo del Acuerdo aparecen escritas las palabras “Golpe de Estado”, con lo cual se reconoce tácitamente y yo diría expresamente, que no hubo un golpe de Estado y que sólo se trata de calmar la malcriadez del comunismo internacional que no entiende cómo funciona un verdadero Estado de Derecho con real independencia de Poderes.
En octavo lugar, con la firma del Acuerdo de Tegucigalpa se levantan todas las sanciones que le habían impuesto injustamente a HONDURAS la comunidad internacional y se reactivan los proyectos vigentes de cooperación. Con lo cual triunfó la sensatez proclamada por el gobierno de Micheletti y el pueblo hondureño y se derrotó la posición antipatriótica y cruel de Zelaya y Patricia Rodas quienes pedían a gritos la estrangulación económica de HONDURAS, cuando cínicamente solicitan el desbloqueo a la dictadura comunista de Cuba.
En noveno lugar, se designa una comisión de verificación del Acuerdo, la cual debe respetar la Constitución hondureña y las leyes internas y también se exige a la comunidad internacional el respeto a la soberanía de la República de HONDURAS y al principio de no injerencia en los asuntos internos de otros Estados. Con esto se le asesta un duro golpe a las naciones que violando los tratados internacionales pretendieron violar la soberanía hondureña, con lo cual el mismo Zelaya pone en entredicho la actuación por ejemplo de Brasil y Venezuela en el conflicto hondureño.
En décimo lugar, se crea una Comisión de la Verdad para esclarecer los hechos ocurridos antes y después del 28 de junio de 2009.
En undécimo lugar, se establece como fecha improrrogable de traspaso de gobierno al nuevo Presidente electo, el día 27 de enero de 2010, con lo cual se descarta toda posibilidad de alargar el período de gobierno en el supuesto negado de que Zelaya fuera restituido en el poder, como lo sostenían sus seguidores.
En conclusión, podemos afirmar categóricamente que el Acuerdo suscrito fue un triunfo de los factores democráticos encabezados por el Presidente Constitucional Roberto Micheletti y una derrota estruendosa para el eje del mal encabezado por Hugo Chávez y sus títeres internacionales, quienes pretendían desconocer la Constitución hondureña y la legitimidad de todas sus instituciones, y más aun pretendían vulnerar la soberanía catracha. Esperamos que el mundo respete el Acuerdo y no permita su saboteo.
Ahora le toca al pueblo hondureño demostrar su vocación democrática y acudir masivamente a votar el próximo 29 de noviembre y celebrar con entusiasmo este triunfo de la democracia. HONDURAS nuevamente marca un hito en la historia de la humanidad y se consolida como la bandera de la libertad y la dignidad, dictando cátedra en Derecho Constitucional y dando ejemplo de moral y civismo. VIVA HONDURAS!! Patria de Héroes Libertarios!